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Notes sur le tag : légèrement frôlée

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Étienne Faure, Légèrement frôlée

Où est l’exil, en sueur, en train jadis accompli si les avions, presque à la vitesse du mensonge nous déposent en des lieux prémédités de loin, transmis par la parole, des papiers traduits ou rédigés dans la langue des mères, où est l’exil, un écart temporel réduit à rien — espace crânien où l’on revient sur ses pas pour retrouver l’idée perdue en route —...

Publié le 31/05/2020 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée

                                               La nuit quelqu’un pleure en elle plus souvent qu’autrefois. Sur le ponton, sa peur — chair évidée des poissons servant d’appâts — cent fois réveillée, c’est la noyade.   Ce chagrin d’un autre, elle le...

Publié le 20/04/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée — Horizon du sol

Où est l'exil en sueur, en train jadis accompli si les avions, presque à la vitesse du mensonge, nous déposent en des lieux prémédités de loin, transmis par la parole, des papiers traduits ou rédigés dans la langue des mères, où est l'exil, un écart temporel réduit à rien — espace crânien où l'on revient sur ses pas pour retrouver l'idée perdue en route —...

Publié le 27/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée

Des femmes sont des tombeaux qui passent avec les désirs dans la rue, où s'enfouissent les chers secrets, catimini, le bruit du mâchefer dans la cour traversée jadis pour elle, un bouquet à la main — c'était cela sans doute, faire la cour, ce bouquet sec d'amour aujourd'hui conservé dans du papier journal aux nouvelles défraîchies.   L'hiver, avant de se...

Publié le 02/11/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Étienne Faure, Légèrement frôlée

La blessure que reçut hier le fruit gagne ainsi qu’une gangrène au mois d’août mille neuf cent dix-huit ou quarante-trois après la classe inspirant ce chagrin d’automne comme on rentre à pas lent, une pomme à couteau dans la poche ou mains en l’air devant l’ennemi criant ce mot d’arrière-saison — schnell , après guerre longtemps fut le cri des enfants...

Publié le 15/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Etienne Faure, Légèrement frôlée - Vues prenables

    Souvent mal réveillé le matin, d’un Bruegel sur une boîte à sucre il fixait la scène où les corbeaux se ravitaillent, des hommes tuent le cochon, agités, en groupe ou isolés, ivres morts, courbatus, ou consacrant du temps selon la saison à l’amour.   Cette façon de voir les choses en peinture se poursuivait longtemps certains jours...

Publié le 25/03/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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